Aristocrazy, c’est cette marque espagnole créée en 2010, qui propose le meilleur de la tradition de la bijouterie et une certaine modernité artistique dans ses collections. Son propriétaire, la famille Suarez, officie dans la haute joaillerie depuis 70 ans, et Juan Suarez, le fils, est le directeur créatif et co-fondateur d’Aristocrazy. Leur objectif : mettre le bijou de luxe à la portée de toutes les femmes.
Elle est l’une de celles qui rend le stacking — oui, cette accumulation de bijoux et, ici, sur l’oreille — chic. Et plus on en met, mieux c’est. Drôle quand on pense que c’est le mouvement punk qui lança cette tendance…
Quand on se fait piercer l’oreille chez Aristocrazy, on dit « adios » aux boucles provisoires médicales pas très jolies, et on choisit parmi les 11 bijoux exclusifs en or 18 carats avec, ou sans diamants sertis à la main pour le placer au lobe, helix, rook…
Personnellement, j’ai trois trous au lobe d’un côté et deux de l’autre, depuis mon adolescence — l’helix datant d’il y a trois ans (et il m’a fait souffrir pendant un moment !). J’ai choisi un intermédiaire pour celui-ci, pas trop dans le cartilage et un petit diamant solitaire.
Même l’actrice Maria Pedraza (la fragile Alison dans la série Casa del Papel), qui avait déjà prêté son visage pour la collection Moonlight, était présente ce jour-là et y a succombé…
Quant aux autres collections, je suis fan des « hoops », mini boucles d’oreilles chic et design que l’on retrouve au fil des saisons.
Et des boucles d’oreilles façon piercing cartilages…
Atelier Aristocrazy : les 14, 15 et 16 février au BHV Marais à Paris, 2ème étage : 52, rue de Rivoli, 75004 Paris. Inscrivez-vous sur rendezvouspiercing@aristocrazy.com (attention, lobe et helix uniquement). De 139 € à 275 € pour un bijou de joaillerie en piercing (ci-dessous).
A partir de 69 € pour les autres collections.
